Skip to main content
Joseph Kabila, Michelle Bachelet, João Lourenço

Les déportations de l'Angola vers la RDC suscitent des craintes sécuritaires

Le Président João Lourenço est-il trop mechant ? En tout la reaction du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme est clair.  En plus quand vous visionez la vidéo sur le sort que le Zaire, par le biais de Nguza Karl I Bond, avait reservé à un million des refugiés Angolais en RD Congo, il n' ya pas de doute que l'Angola n'est pas panafricaniste et qu'ils n'ont pas de gratitude.

Michelle Bachelet, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH), a sonné l’alarme vendredi que l’expulsion de ressortissants congolais par l’Angola avait entraîné de graves violations des droits de l’homme par les forces de sécurité des deux côtés de la frontière.

Quelque 330 000 personnes sont revenues de l'Angola dans les provinces du Kasaï et du Kwango, en République démocratique du Congo, ce mois-ci, à la suite de l'expulsion ordonnée par les autorités angolaises. Au moins six morts imputables aux forces de sécurité ont été confirmées, mais des témoins oculaires en ont affirmé qu’il y avait beaucoup plus lors d'entretiens avec les équipes du HCDH.

Au moins 100 autres personnes ont été blessées, dont beaucoup font l'objet de détentions arbitraires, d'extorsion de fonds et d'autres violations, a déclaré l'agence. «Le droit international et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples interdisent l’expulsion massive de non-ressortissants sans évaluation individuelle ni autre garantie d’une procédure régulière», a déclaré Bachelet. « En expulsant un si grand nombre de personnes en si peu de temps, l'Angola a exposé des dizaines de milliers de familles à de graves risques. »

Elle a appelé les deux gouvernements à protéger les migrants de retour et à protéger leurs droits fondamentaux, en se déclarant préoccupés par «l'absence persistante de responsabilité pour les graves violations des droits de l’homme » commises dans les Kasaï en 2016 et 2017.

«J'exhorte le gouvernement de la RDC à veiller à ce que les membres des forces de sécurité susceptibles d'être responsables de violations passées et présentes à l'encontre de personnes — sans distinction d'appartenance ethnique — fassent l'objet d'enquêtes en vue de garantir justice aux victimes, Dit Bachelet. «À défaut, je crains que nous ne voyions une répétition des cycles de violences terribles qui avaient éclaté dans les Kasaïs en 2016.»

L’Angola accueille actuellement quelque 68 000 réfugiés et demandeurs d’asile et a nié la mort, les abus et les expulsions massives la semaine dernière. Les autorités angolaises ont affirmé que quelques centaines de Congolais avaient quitté volontairement leur pays dans le cadre d'une campagne de répression contre l'exploitation illégale de diamants dans sept de ses provinces.

L'Angola et la RD Congo ont une histoire difficile sur la question de la migration illégale congolaise pour des raisons économiques, et des responsables angolais ont «expulsé de manière agressive des migrants congolais de la région riche en diamants de Lunda Norte depuis 2004», selon un rapport de septembre 2015 de l'USAID.

A titre historique, voici comment Nguza Karl I Bond avait reagit, face au sort de 1 million d'Angolais qui se trouvaient en RD Congo. Les Congolais ont toujours été animé par le panafricanisme, ce qui a toujours attiré des problèmes car les autres africains n'ont jamais reflechi en ces termes. Le Rwanda, l'Ouganda et l'Angola sont des exemples les plus recents.

« Premièrement, cela veut dire donc que le zaïre pour promouvoir l'unité africaine est prêt même à abandonner une partie de sa souveraineté cela se trouve dans le texte considère constitutionnel donc le texte de base qui régit notre société.

Un million de réfugiés angolais que devenons en faire puisque ça fait le cinquième de votre territoire, puisque qu'ils avaient fui leur territoire national suite aux brimades coloniale ou encore tout récemment suite à la guerre civile.

Que devront en faire et que ils ont toutes les raisons de croire que le retour pour leur participation éventuelle à la construction économique de leur pays pourrait leur coûter cher dans le cadre de leur sécurité.

Deuxième point vous avez chez vous dans le cadre de votre armée des zaïrois qui se sont livrés à un certain mercenariat. C’est-à-dire, qui ont servi plusieurs chefs à la fois, ont été utilisés dans le cadre de la sécession katangaise, qui ont été utilisées par les forces portugaises contre vous, contre les mouvements de libération et qui sont aujourd'hui membres de vos membres effectifs de votre armée.

Que comptez-vous en faire parce que non seulement il constitue un point de discorde possible entre vous et nous mais il constitue même un danger pour notre sécurité.

Et, troisièmement enfin au Zaïre, nous n'avons pas de bases étrangères. Nous n'avons pas de forces étrangères mais vous avez des forces étrangères et vous avez même une force étrangère assez impressionnante c'est à dire en hommes et en matériel militaire les plus sophistiqués. Nous n'avons pas de bases militaires et nous n'avons pas ce matériel militaire des plus sophistiqués ». d'après, Nguza Karl I Bond

Add new comment

Filtered HTML

  • Web page addresses and email addresses turn into links automatically.
  • Allowed HTML tags: <a href hreflang> <em> <strong> <cite> <blockquote cite> <code> <ul type> <ol start type> <li> <dl> <dt> <dd>
  • Lines and paragraphs break automatically.