Les Poursuites Effrénées de Kalev Mutond Contre Moise Katumbi ; Béni et Ituri, Ça Bouillonne et Inquiète

Chers lecteurs qui connaissent Kalev Mutond en personne, pouvez-vous prendre le courage de lui demander de faire son travail qui est de veiller et sauvegarder la sécurité et l’intégrité territoriale au lieu de chercher de petites bêtes inutiles sur l’ex-gouverneur du Katanga Moise Katumbi ? Nos fins limiers postés à Lubumbashi et dans le Nord Kivu nous rapportent des faits très troublants et même très dangereux.

Ceux de Lubumbashi viennent d’être contactés par un des exécuteurs d’un nouveau plan du Tout-Puissant Kalev Mutond. Cet agent qui s’est livré sous le sceau de l’anonymat estime qu’il ne pouvait plus garder sous silence ce qui se trame. Il en a marre de voir Moïse Katumbi martyrisé.

Tenez, après avoir été bloqué sur le schéma glissant du mercenariat. Le Sieur Kalev Mutond vient de faire placer des armes et de l’argent dans sept (7) malles de couleur noire. Il s’apprête à les faire escorter par des agents de l’ANR, déguisés en agents au Service de Moïse Katumbi.

Ces agents en compagnie de ces malles prendront la direction de Kolwezi ou toute une autre destination qui sera décidée à la dernière minute. Ces agents se feront arrêter et ils déclareront que ces malles d’argent et les armes appartiennent à Moïse Katumbi qui les aurait chargés de trouver un endroit propice pour les cacher. Faute de preuves tangibles et palpabes jusque-là, elles constitueront des éléments matériels à charge contre Moïse Katumbi dans le fameux dossier des mercenaires. Seulement, Kalev Mutond n’a pas intégré la force de la conscience dans sa stratégie qui vient de nous être livré au grand jour. Ainsi, un des exécuteurs a refusé de porter cette responsabilité et a décidé de dévoiler cette supercherie.

Une Bombe à Retardement — Mouvements Migratoires et Occupation Illegale de Terre

Par ailleurs, dans le Nord Kivu, les tueries et les mouvements migratoires continuent. Ces mouvements sont soit encouragés par la GDM et l'ANR ou soit c’est un cas d’incompétence qui frise la criminalité.

Au moment que Kalev Mutond passe le clair de son temps à mijoter un énième montage contre Moise Katumbi, son homologue de la DGM, le sieur François Beya dort sur les commandes de l’appareillage migratoire du Congo, dont toutes les alarmes sont au rouge et les "bip, bip, bip" du signal sonore "homme mort" ne fonctionne plus, prédisant clairement un crash qui sera suivi d’une explosion imminente.

A Goma dans le territoire de Masisi un mouvement de la population se fait remarquer, disant vouloir partir en Ituri dans la province orientale. Ces mouvements se passent en même temps à Béni et la population s’en inquiète.

Ils disent aller cultiver leurs terres. Ces derniers confirment avoir obtenu leur feuille de route auprès des notables et chefs de groupement. Certains provenaient d’Ituri pour récupérer les autres à Masisi. Un imbroglio !!!

Nous comprenons que le gouverneur a suspendu ce mouvement, mais que peut-il faire sans aide de la DGM ? Ça sent la complicité de chefs locaux qui sont complices dans cette migration. N’est-ce pas donc le travail de la DGM de Francois Beya d’étudier ces mouvements de très près et de Kalev de s’assurer que ce mouvement ne favorise pas le Jihadisme qui veut s’installer dans la partie Est du Congo pour étendre ses tentacules en Afrique. Sont-ils complaisants ou complices ? That’s the question.

Si la situation à Lubumbashi inquiète, celle d’ITURI bouillonne et la tension monte. Les Hutus — provenant on ne sait d’où — arrivés déjà dans cette partie de la province Orientale sont estimés être déjà plus nombreux que la population locale. Ils sont estimés par Kivu1 être 80.000 personnes. Il n’y a point de doute, car ils viennent de Masisi et Béni aussi, le maire de la ville et les députés élus de cette contrée confirment cette information.

Nous dénonçons donc ce complot ourdi contre un martyr (entendez Moise Katumbi) qui n’a commis que pour pécher que de se déclarer candidat aux élections Présidentielles.

Nous déplorons également le dysfonctionnement, la complaisance et/ou complicité sur les tueries et cette bombe sociale en plein montage à Béni, Masisi et Ituri, sous la barbe des autorités compétentes, car, ces derniers sont préoccupés par de problèmes politiques manufacturés.

Affaire à suivre