URGENT : Indignation du Peuple Ne Kongo – Arrestation du Greffier en Chef de la Cour de cassation TAMBA TSANA Albert
La justice est la première victime de toute dictature, car les dirigeants autoritaires cherchent à contrôler tous les aspects de la vie de leurs citoyens, y compris le système judiciaire. En effet, ils utilisent souvent la justice comme un outil pour punir leurs opposants politiques et récompenser leurs partisans. Comme l'a dit le philosophe Jean-Jacques Rousseau, « Là où la force est maître absolu, la justice est absente. »
En supprimant l'indépendance du pouvoir judiciaire, les dictateurs peuvent contourner les lois et les protocoles pour poursuivre leurs objectifs politiques personnels. Comme l'a déclaré l'avocat et défenseur des droits de l'homme Nelson Mandela, « La justice ne sera jamais atteinte par les forces de la répression. La justice ne peut jamais être satisfaite tant que ceux qui la subissent n'ont pas confiance en elle. » En RD Congo tout comme dans de nombreux pays autoritaires, les tribunaux ne sont pas libres de prendre des décisions impartiales et sont souvent soumis à des pressions politiques.
Le cas école est l’arrestation arbitraire du Greffier en Chef de la Cour de cassation TAMBA TSANA ALBERT qui défit tout niveau d’entendement sur le déchainement du conseiller de Felix Tshisekedi, Me. Peter Kazadi. N’est-ce pas que le philosophe John Rawls avait dit que « l'objectif principal de la justice est de garantir que la liberté et l'égalité soient protégées pour tous, indépendamment de leur statut social ou politique ? » Nous livrons ici-bas la note d’indignation du Peuple Né Kongo quant à ce.
Suite à l’arrestation arbitraire de son digne fils et notable en la personne du Greffier en Chef de la Cour de cassation TAMBA TSANA Albert, sur ordre de Me Peter KAZADI, une carrière irréprochable risque d’être éclaboussé !!! La limite de l’arbitraire a été franchie.
Le PEUPLE NE KONGO, n’acceptera Jamais qu’une telle forfaiture perdure un instant de plus.
De ce fait, le peuple NE KONGO demande au Procureur Général Près la Cour de cassation que cette bévue grossière soit immédiatement rectifiée et que l’honneur ainsi que le respect, dû à notre digne fils et notable, soient rétablis publiquement.
Au Chef de l’État, garant du bon fonctionnement de la justice, il est rappelé que la conduite de ses collaborateurs qu’il a souvent lui-même décriée, constitue à ce jour un handicap à la matérialisation de sa vision. Ne dit-on pas qu’une nation sans justice est vouée à la perdition.
MVUEMBA MASAMUNA Topin
