Skip to main content
Pascal Beverragi

Vol, Intox et Infox : Pascal BEVERRAGI fait croire que NB Mining Africa aurait récupéré les avoirs de Astalia Investment Limited (MCK SARL)

Il vous souviendra que, plus d’une fois, l’opinion a déjà été abusée par des fausses alertes de Monsieur BEVERAGGI et « son équipe de communication » qui s’adonnaient à des manifestations de joie chimériques au motif fallacieux d’avoir récupéré, par décision de la Cour d’Appel de Kinshasa/Gombe, un patrimoine d’autrui que l’on ne peut donc recevoir que du propriétaire et non de la justice quand bien même cette dernière serait en état de putréfaction avancée.

 

En effet, Monsieur Pascal BEVERAGGI, réfugié en Afrique et simple employé de Monsieur Moïse KATUMBI dans la société MCK SARL, était certes gracieusement payé pour ne pas mourir de faim mais pas au point de se constituer une fortune qui pourrait lui permettre de racheter la société qui l’employait et qui engendrait des bénéfices qui s’évaluaient en plusieurs centaines des millions de dollars américains. Tous les rêves sont permis, diraient certains, mais la réalité n’est malheureusement pas du domaine des rêves.

 

Se sachant financièrement et même socialement dans une situation qui ne pourrait pas lui permettre d’acquérir un empire financier où il a trouvé refuge, Monsieur Pascal BEVERAGGI entreprit de concevoir un montage criminel pour faire main basse sur la société MCK SARL de Monsieur Moïse KATUMBI.

 

Ce montage criminel repose notamment et essentiellement sur des tentatives d’escroquerie, spoliations, vols, détournements, abus des biens sociaux, blanchiment des capitaux, transferts illicites des fonds, fraudes fiscales, fraudes douanière et fraude à la législation sociale dont les victimes sont les privés (sociétés commerciales et personnes physiques dont certains congolais qui ont travaillé pour son compte) et même l’Etat Congolais, les organismes étatiques et paraétatiques.

 

C’est donc l’exécution malsaine de ce montage, ayant principalement consisté en l’accomplissement de plusieurs actes infractionnels, qui a commencé à lui faire croire qu’il est devenu propriétaire de MCK SARL (dont la société ASTALIA INVESTMENT LIMITED est majoritaire). Et, pour parfaire ses crimes, il s’est même empressé de débaptiser la société MCK SARL de Monsieur Moïse KATUMBI en l’appelant NB MINING AFRICA, croyant ainsi brouiller les pistes pour rendre difficile la récupération de la société, oubliant qu’il n’y a eu jamais des crimes parfaits.

 

Se sachant toujours exposé parce que parfaitement conscient du fait qu’il n’a jamais acheté la société de son employeur, Monsieur Pascal BEVERAGGI, toujours motivé par l’appât du gain illicite, cru bon de blanchir son crime en saisissant les juridictions de son pays d’origine, la France, pour faire homologuer c’est-à-dire faire avaliser la cession de la société d’autrui dont il serait devenu le nouveau propriétaire.

 

Hélas ! C’était sans compter avec le sérieux de la justice de son propre pays qui, en résumé et jusqu’au niveau de la cassation, a annulé cette cession et a donc reconnu ASTALIA (MCK SARL) comme étant toujours propriétaire de la société.

 

Et, fort de la décision de la décision rendue par la Cour de Cassation de la France qui a aisément démasqué toute la magouille mise en place par son sujet Monsieur Pascal BEVERAGGI, la société ASTALIA INVESTMENT LIMITED (actionnaire majoritaire de MCK SARL) a, conformément aux exigences légales, saisi les juridictions  congolaises compétentes qui, conformément à la décision de la Cour de cassation Française rendue en date du 05 Février 2020, ont décidé de la restitution des avoirs à la société ASTALIA IVESTMENT LIMITED (actionnaire majoritaire de MCK SARL) par de la société OCTAVIA (devenue NB Mining) et du paiement des dommages-intérêts de 70.000.000 $ USD pour tous les préjudices causés à ASTALIA, donc à MCK SARL.

 

La société OCTAVIA (NB Mining) a tenté, en désespoir de cause, de saisir même la Cour de Cassation de la République Démocratique du Congo en prise à partie pour faire annuler la décision de restitution des avoirs à ASTALIA INVESTMENT LIMITED. Mais, on se rappellera qu’en date du 24 Décembre 2020, la Cour de Cassation  a confirmé la décision attaquée et a donc confirmé la restitution des avoirs à la société ASTALIA (Actionnaire majoritaire de MCK SARL).

 

Si deux arrêts des deux Cours de Cassation annulent le simulacre de cession et confirment que les avoirs de la société ASTALIA (MCK SARL) doivent retourner dans son patrimoine, d’où vient que des personnes censées se réveillent un matin et affichent des attitudes jubilatoires au prétendu motif que la société aurait été rendue à Monsieur Pascal BEVERAGGI ?

 

Ce dernier et ses complices appelés « équipe de communication » seraient-ils encore dans une nouvelle tentative d’escroquerie qui nécessite de se faire passer pour propriétaire de MCK SARL peut-être pour tromper la vigilance d’une institution financière en arborant abusivement une apparence qui les rende éligibles à un crédit ?

 

Ne serait-il pas plus facile de montrer la décision de justice qui le déclarerait propriétaire de MCK SARL ou de ASTALIA, à tort évidemment, si c’est le cas ?

 

Mieux, s’agissant d’une décision de la Cour d’Appel de Kinshasa/Gombe, vous vous souviendrez d’abord que ce n’est pas la première fois que Monsieur Pascal BEVERAGGI et ses complices soient en liesse et affichent une attitude festive sur les réseaux sociaux. En effet, en date du 12 Novembre 2021, alors qu’il ne s’agissait que d’une décision qui se prononçait sur une infime partie d’un montant payé en exécution partielle des dommages-intérêts de 70.000.000 $ USD, qui n’ont jamais été annulés, Monsieur Pascal BEVERAGGI et son équipe de communication avait annoncé de manière mensongère évidemment que la société lui avait été restituée.

 

S’agirait-il encore la même jubilation ou plus exactement de la même hystérie qui semble devenir chronique avec une fixation sur la Cour d’Appel de Kinshasa/Gombe qui serait le lieu des déclenchements des crises.

 

Sans nous perdre dans les considérations relatives à l’arrêt de la Cour d’Appel de Kinshasa/Gombe, parce qu’on ne peut l’appeler autrement, dont la dénaturation serait encore à l’origine de nouvelles jubilations injustifiées dans la mesure où l’arrêt ne revient pas et ne peut pas revenir sur la restitution des avoirs à ASTALIA INVESTMENT LIMITED (MCK SARL), pourquoi Monsieur Pascal BEVERAGGI ne nous montre pas la partie du dispositif (décision) reconnaissant définitivement la « propriété à la société NB MINING AFRICA ».

 

Nous avons pensé, en dépit des évidences, qu’il était important de porter à la connaissance du public ces vérités pour éviter que les intox ou infox confèrent à leurs auteurs des fausses apparences des propriétaires qui pourraient servir à l’accomplissement des nouvelles escroqueries.

 

Nous savons aussi que si Monsieur Pascal BEVERAGGI se tient bien loin de l’endroit où serait située la société dont il serait propriétaire que dans sa propre imagination, c’est uniquement pour se soustraire aux poursuites pénales déclenchées par les instances judiciaires congolaises pour diverses graves infractions retenues à sa charge et c’est pour les mêmes raisons qu’il n’ose pas aller se réfugier dans son pays d’origine qui aurait également ouvert d’autres dossiers pénaux à sa charge.

 

En conclusion, il est donc important de noter qu’il y a eu certes des tentatives de spoliation de la société MCK SARL par des machinations visant la reprise de ASTALIA, actionnaire majoritaire de MCK SARL, mais ce processus criminel a été bloqué par les décisions de la justice française dont l’arrêt de la Cour de Cassation Française ainsi que les décisions de la justice Congolaise confirmées par la Cour de Cassation de la République Démocratique du Congo. Les prétendues reprises de la société MCK SARL par Monsieur Pascal BEVERAGGI, par ailleurs sporadiques, relèvent plus des chimères ou d’une hystérie qui ne sauraient jamais devenir collectives en dépit de la contagion souhaitée par ceux qui en soufrent.  

 

 

Congovox.com est un espace libre d'expression basé sur le premier amendement de la Constitution américaine. De ce fait, les contenus des articles de différents auteurs indépendant n'engagent pas la rédaction.

 

Categories

Add new comment

Filtered HTML

  • Web page addresses and email addresses turn into links automatically.
  • Allowed HTML tags: <a href hreflang> <em> <strong> <cite> <blockquote cite> <code> <ul type> <ol start type> <li> <dl> <dt> <dd>
  • Lines and paragraphs break automatically.