Massacre de Goma : Le Grand Kivu exige la démission immédiate de Jean-Pierre Bemba, Peter Kazadi et du Général Constant Ndima
Le récent massacre à Goma a laissé le Grand Kivu en état de choc, et les leaders du pays et de la région du grand Kivu, notamment Félix Tshisekedi, semblent plus préoccupés par leur apparence lors de mariages et d’anniversaires que par les besoins de leur propre population. Pourtant, le bilan est très lourd : plus de 140 morts et plus de 340 blessés. Comment un gouvernement est tue le peuple qu'il est sensé protegé ? Jean-Pierre Bemba doit avouer son échec et il en va de même pour Peter Kazadi.
Où sont les dirigeants et les personnalités influentes du Grand Kivu ? President Bahati Lukwebo, Dr Denis Mukwege, Vital Kamerhe, Aime Boji, Julien Paluku, Bulambo Kilosho, Matata Mponyo, Emanuel Shadari, Katitima, Tshishambo et bien d’autres sont restés dans l’ombre. Pour reprendre les mots du défunt Mzee Laurent Desire Kabila, cela ressemble à une kermesse de personnes inutiles. Il est temps qu’ils choisissent leur camp : soit ils se tiennent aux côtés du peuple, soit ils soutiennent ce régime criminel. Le silence est interprété comme un consentement.
Même les églises catholiques et chrétiennes semblent paralysées par le choc, exactement comme l’avaient prévu les conspirateurs et les commanditaires, afin de terroriser la population avant le passage en force du deuxième mandat. Il est temps de se réveiller !
Si les politiques du Kivu et les religieux n’ont toujours pas trouvé le courage d’agir, écoutez les paroles du Président Emmanuel Macron à ce sujet. Vous avez le choix de vous ranger du côté du peuple et de contribuer au départ de ce régime voyou, ou bien vous pouvez attendre trois mois pour vous exiler si vous savez nager. Que vous le vouliez ou non, ce régime criminel finira par partir, même nous devons temporairement nous allier stratégiquement avec Lucifer pour y parvenir !
« Nous avons été intransigeants avec le président Kabila en son temps, lorsque celui-ci recourait aux violations des droits humains contre son propre peuple lors de différentes manifestations organisées par l’opposition.
« De la même manière, nous devons avoir le courage de nous opposer au président Tshisekedi, face à de multiples dérives inacceptables qui se succèdent jour après jour, ainsi qu’à des répressions disproportionnées et choquantes contre sa propre population.
« Les enlèvements par-ci, les arrestations arbitraires par-là, la France est choquée de voir que la RDC se classe de plus en plus bas dans la catégorie des mauvais élèves. Cette régression en matière de respect des droits humains sous le régime Tshisekedi est aussi rapide que sa chute précipitée, ce qui étonne plus d’un. Non seulement en raison de son comportement dictatorial, mais aussi parce qu’il inflige cela à une population qui a déjà beaucoup souffert.
« Il est encore plus grave de constater que ces répressions cruelles sont en totale violation des droits légitimes du peuple consacrés par la Constitution. Le régime Tshisekedi, qui était encore récemment dans l’opposition avec le soutien de ce même peuple, doit être tenu pour responsable de ces actes. » a déclaré le président français, Emmanuel Macron
Les revendications de la population du Grand Kivu sont claires :
- Le VP Jean-Pierre Bemba doit démissionner.
- Le VP Peter Kazadi doit démissionner.
- Le général Constant Ndima doit être emprisonné.
- Les leaders du grand Kivu doivent immédiatement stopper toutes activités politiques.
- Une enquête internationale doit être immédiatement diligentée.
- La levée immédiate de l’état de siège, remise et reprise avec les autorités civiles.
En plus, les autorités militaires provinciales doivent également mettre fin au travestissement des cadavres et à leur enterrement dans des fosses communes à la sauvette. Pour les Congolais de la diaspora, il est temps d’engager des poursuites contre le régime de Félix Tshisekedi afin qu’il passe le reste de sa vie derrière les barreaux de la CPI, de même que ses collaborateurs immédiats, comme le Général cannibale constant Ndima.
Nous appelons le gouvernement à permettre aux familles d’enterrer dignement leurs fils et filles, et à veiller à ce que les blessés reçoivent des soins rapidement.
À très bientôt.