Urgent : Secrets Dévoilés : Les Machinations Cachées du Régime Tshisekedi pour Le Passage en Force aux Élections Présidentielles »
Un message subliminal est véhiculé par les nouveaux jeeps, la marche de la garde républicaine, la formation des nouveaux recrus, diffusé à haute voix, mais demeurant indéchiffrable pour les non-initiés aux secrets d’État. Le plan visant à assurer un deuxième mandat à Felix Tshisekedi à la magistrature suprême par des moyens forcés se précise, comme nous le dévoilerons dans les paragraphes suivants. Il s’agit d’un plan audacieux ! Comme vous le découvrirez, la guerre du M-23 est une opération militaire de grande envergure tolérée pour faciliter le maintien en force de Felix Tshisekedi. La population de l'Est n'aura été que "la chaire à canon" destinée à étre sacrifiée dans ce plan Machiavelique
La récente visite de la délégation américaine en RD Congo a été assurée que les élections se dérouleront comme prévu. Cependant, le gouvernement Tshisekedi n’a pas informé la délégation américaine qu’il se prépare une fraude sans égale, et que le processus électoral ne sera qu’une vaste mascarade visant à octroyer indûment un deuxième mandat à Félix Tshisekedi.
Dès le début, l’individu ciblé pour être exclu, comme vous pouvez le deviner, est Moïse Katumbi. À la différence du mécanisme complexe de la loi Tshiani, largement critiquée même par le département d’État américain pour son caractère raciste et séparatiste, quelques esprits éclairés à la présidence et à la CENI ont trouvé une méthode simple, mais efficace pour subtilement empêcher la candidature de Moïse Katumbi.
Avant de pousser la lecture plus loin, retenez ce que Mahatma Gandhi avait dit : « Là où les lois sont injustes, il est noble de les enfreindre. »
Premier Secret — Rejet de la Candidature de Moïse Katumbi
Le piège se refermera sur Katumbi en exploitant l’allégé passage de ce dernier à la citoyenneté italienne, qu’il aurait — remarquez le conditionnel — adoptée et abandonnée lors de son exil forcé sous le régime de Joseph Kabila. Oubliez le fait que Noël Tshiani avait également présenté sa candidature, même s’il est américain, comme de nombreux d’autres députés. Ici, les fretins ne préoccupent pas les décideurs. Selon une source fiable, la candidature du Président Moïse Katumbi sera jetée en pâture aux circuits judiciaires fermement contrôlés par les autres lieutenants Balubas du Président Félix Tshisekedi. Ici, la charge de la preuve repose sur le négatif, ce qui est difficile : vous êtes présumé coupable et il vous incombe de prouver votre innocence.
D’ici à ce que le Président Moïse Katumbi ait tout mis en œuvre pour prouver sa nationalité congolaise, et que son passeport quand bien même ait été délivré par le déchu Bifor Biselele, alors un envoyé de Félix Tshisekedi lui-même, il sera trop tard, car la période de dépôt des candidatures sera achevée. Hors-jeu, sa redoutable popularité rencontrera des difficultés à mettre en marche sa redoutable machine électorale. Cette information avait été divulguée à la sous-secrétaire d’État en visite à Kinshasa pour éviter toute surprise aux officiels à Foggy Bottom à Washington.
Pendant ce temps, l’opération de tromperie continuera de fonctionner à plein régime et se retournera contre la candidature du sénateur et ancien Premier ministre Matata Mponyo, ainsi que la probabilité de la candidature du lauréat du prix Nobel de la paix 2018, le Dr Denis Mukwege.
Sous la pression internationale, Félix Tshisekedi pourrait jouer la carte de la magnanimité en laissant Matata et/ou Mukwege, mais le véritable coup de bélier sera orchestré dans chaque bureau de vote. De quoi susciter la jalousie de Paul Kagame envers Félix Tshisekedi.
Deuxième Secret — Fraude Électorale
Les dés sont déjà jetés. Dans chaque bureau de vote, un grand surplus d’électeurs fictifs est prévu… Dans les bastions de Félix Tshisekedi, aucun observateur ne sera admins et les votes seront trafiquées jusqu’à assurer sa victoire. Comment ?
Prenons l’exemple d’un bureau de vote à Ndjili à Kinshasa, où 300 000 électeurs (une supposition) sont inscrits. La CENI pourrait mettre de côté jusqu’à 200 000 électeurs fictifs, destinés à être injectés ou à remplacer les votes des véritables électeurs. Ainsi, si Félix Tshisekedi recueille 30 % des voix, les voix d’autres candidats pourront soit être substituées pour lui donner l’avantage, soit être gonflées pour assurer une victoire écrasante. Tel un « coach » d’une équipe de basketball NBA, Denis Kadima, via son équipe, communiquera les règles du jeu pour garantir la victoire de Félix Tshisekedi.
Troisième Secret – La Technologie des Bases de Données numériques
Félix Tshisekedi n’a pas combattu en vain l’Église catholique pour installer son protégé à la tête de la CENI. Dans l’éventualité où Moïse Katumbi contournerait les deux premières barrières, les informaticiens de la CENI porteraient le coup fatal en utilisant des commandes SQL. Comment cela est-il possible ?
Une simple commande SQL pourrait donner la victoire à Félix Tshisekedi en moins de 5 minutes. Une simple commande SQL parcourra traverser la base de données et effectuera les remplacements nécessaires des votes de Katumbi en faveur de Felix Tshisekedi en moins de 5 minutes, garantissant ainsi une victoire incontestable à ce dernier.
Les chants scandés par les Kinois tels que : « Cinq ans oyo asali eloko te, cinq ans oyo moyibi na moyibi » (traduction : « Ces cinq ans, il n’a rien fait, ces cinq ans, que du vol et encore du vol ») ne perturberont pas l’équation de l’alchimie politique mise en place par la CENI.
En d’autres termes, si des mesures ne sont pas prises dès maintenant, Félix Tshisekedi est assuré de gagner par tricherie, peu importe son impopularité et les aspirations du peuple congolais. Ainsi, la démocratie par le biais des urnes ne deviendra qu’un souvenir amer pour la majorité du peuple congolais.
Quatrième Secret — Victoire Militaire contre les M-23
Rappelez-vous qu’un président de pays belliqueux qualifie l’opération militaire des M-23 de « politiquing » ? Les FARDC et même les Mai-Mai auraient déjà pu expulser les M-23 sans aucune répercussion politique pour consolider le pouvoir de Félix Tshisekedi. Le Nord-Kivu demeure la région la plus peuplée de la RD Congo. Une victoire décisive des FARDC pourrait donner à Félix Tshisekedi le statut de héros et lui assurer une victoire électorale.
Environ soixante mille militaires sont en formation pour participer à une opération militaire visant à déloger les M-23. Ils seront soutenus par 23 hélicoptères Cobra de combat en commande. Face à cette armada, les M-23 et les forces spéciales rwandaises ne pourront pas résister. Félix Tshisekedi pourrait ainsi visiter le front, imitant le Maréchal Mobutu et devenant ainsi le nouvel « homme fort » du pays.
Cinquième Secret (de Polichinelle) — Modification de la Constitution
Il est impératif de prendre au sérieux le travail d’Isidore Ndaywell. Les appels du très nationaliste Pero Luwara sont fondés. La durée de neuf ans sera réduite à un mandat de 7 ans renouvelables une fois, offrant à Félix Tshisekedi 19 années au pouvoir, soit une année de plus que Joseph Kabila.
Solutions :
- Les Églises catholiques et du Christ doivent réexaminer leur histoire et comprendre que le temps de la croisade est venu au Congo. La RDC doit choisir entre l’effacement en tant que nation ou son émergence à la face du monde comme use superpuissance. Plus de respect pour une loi fallacieuse. Les fidèles doivent être mobilisés en ordre de bataille ou en désobéissance civile. Ces principes doivent être prêchés dans les églises, car la survie de la nation en dépend.
- Assurer la solidarité des fidèles pour constituer des réserves alimentaires et les partager pendant au moins trois semaines.
- Solliciter le Département d’État américain pour que le Centre Carter valide les listes d’inscription. Combien d’électeurs sont enregistrés ? Combien de doublons doivent être purgés du fichier avant les élections, etc.
- Déployer des observateurs de l’Église catholique et de l’Église du Christ en RDC dans tous les centres de vote pour prévenir les fraudes électorales. Certaines fraudes pourraient survenir dans des lieux privés.
- Mettre en arrêt des usines et des ports du grand Bas-Congo au grand Katanga d’une manière ou d’une autre, ou saboter la production de cuivre, de cobalt, le transport des minerais, voire la production électrique si les élections ne sont pas inclusives.
- Délocaliser physiquement les bases de données vers le « cloud » d’Amazon AWS ou Microsoft Azure, sous la supervision ou avec la participation d’une ONG indépendante.
- Répliquer la base de données principale en trois copies (AWS et Azure le proposent à un faible coût).
Conclusion
Le Dr Martin Luther King avait. Dit : « Une injustice où qu’elle se trouve est une menace pour la justice partout ailleurs. » Et renchérit par John Stuart Mill disant que «le respect d’une loi injuste n’est que la complicité déguisée. »
C’est le moment ou jamais pour les Congolais de prendre en main leur destin et celui de leurs descendants. Personne ne viendra libérer les Congolais, aucune puissance, pas même les États-Unis de Joe Biden.
Si la CENI persiste dans le refus et l’entêtement, les confessions religieuses de la RDC devront adopter les mesures suivantes :
- Mettre en place une désobéissance civile décrétée par toutes les confessions religieuses du pays sur l’ensemble du territoire jusqu’à la proclamation du véritable vainqueur.
- Boycotter et fermer toutes les mines pendant trois semaines, ou jusqu’à la proclamation du véritable vainqueur.
- La sensibilisation doit commencer maintenant.
Il vaut mieux prévenir que guérir. Outre les confessions religieuses, il sera nécessaire que la population se lève et encourage les militaires à appliquer l’article 64, comme cela a été fait en Afrique de l’Ouest, pour la refondation de la démocratie congolaise et éviter le point de rupture qui pourrait avoir des répercussions incommensurables pour la RD Congo et toute la région des Grands Lacs.