RDC : Les Pressions pour Évincer Moïse Katumbi de la Liste des Candidats Présidentiels S'Intensifient, de la CENI à la Cour Constitutionnelle

En ce 19 octobre 2023, jour de la publication de la liste des candidats à la présidence jusqu'au 20 décembre 2023, il semble que le temps s'étire à l'infini, et cela n'est pas sans raison. Pour le peuple congolais, les élections présidentielles tant attendues auront lieu le 20 décembre 2023, conformément à ce qui était prévu. Cependant, en coulisses, un bras de fer se déroule.

 

Selon une source fiable au sein de l'entourage du Président, la publication de la liste des candidats à la présidence a été momentanément retardée, car le Président Félix Tshisekedi aurait donné l'ordre à Denis Kadima de retirer Moïse Katumbi de cette liste.

 

Sous la pression de diverses parties, et conscient que les regards du monde entier sont tournés vers la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima a finalement publié la liste complète de tous les candidats, qu'il a ensuite transmise à la Cour Constitutionnelle pour validation, y compris celle de Moïse Katumbi, le candidat qui suscite le plus d'attention.

 

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Selon nos informateurs à Foggy Bottom, aux États-Unis, les officiels ne cachaient guère leur impatience... Maintenant que la pression a atteint les portes de la Cour Constitutionnelle, cette institution saura-t-elle résister ?

 

Les 7 juges sur les 9 qui sont loyaux envers Félix Tshisekedi vont-ils réellement retirer le nom de Moïse Katumbi de la liste et affronter l'avalanche de colère et de sanctions qui s'abattra sur eux tel un marteau-pilon ?

 

Il est certain qu'il y aura des blocages, des interdictions, ce qui rendra le chemin très ardu pour l'homme de Kashobwe, car il devra porter sa croix jusqu'au bout, sachant que le peuple congolais doit faire le choix le plus judicieux.

 

Il en va de même pour les trois autres candidats, à savoir Martin Fayulu, Matata Mponyo et le lauréat du Prix Nobel de la Paix 2018, Dr. Denis Mukwege, qui aspirent également à la magistrature suprême et dont le chemin risque d'être obstrué pour diverses raisons.

 

Le peuple congolais a attendu soixante-trois ans pour avoir la chance de choisir un président de son choix. Si les aspirations du peuple sont une fois de plus bafouées, le pays risque de sombrer dans le chaos, et la RD Congo pourrait déstabiliser ses neuf voisins.

 

À bon entendeur, salut.