Au moins 16 personnes ont été tuées vendredi 16 février par des miliciens incontrôlés de la CODECO à Tali, village situé à environ 40 kilomètres de Bunia dans le territoire de Djugu. Selon des sources locales, les victimes revenaient d’un lieu de deuil vers Katoto et ont été prises en otage avant d’être exécutées. Leurs corps ont été immédiatement inhumés par ces miliciens.

Au moins vingt personnes ont réussi à s’échapper grâce à l’intervention des FARDC.

Un obus est tombé ce samedi 17 février sur l’aéroport international de Goma au Nord-Kivu. Selon les premières informations, cet obus a été lancé par un drone vers 2 heures du matin. 

Les sources contactées par Radio Okapi renseignent qu’une aile de l’aéronef militaire Soukhoï Su-25 a été endommagée par cet obus.  

Jusqu’à présent l’armée n’a pas encore communiqué sur cet incident encore moins sur la provenance de cet obus.

Les activités aéroportuaires se sont poursuivies normalement ce samedi à l’aéroport de Goma.

L’abbé José Mpundu, prêtre de l’archidiocèse de Kinshasa, a invité le peuple congolais à « réinventer une démocratie à l’africaine, basée   sur les valeurs des ancêtres, notamment l’égalité, la liberté assortie de la vérité, la justice et la paix véritable, la solidarité ainsi que le partage ».

Les femmes de Kibirizi et d’autres entités de Bwito, dans le territoire de Rusthuru sont exposées aux violences de toutes sortes, surtout lorsqu’elles se rendent aux champs pour chercher leurs produits agricoles. Elles disent subir de plein fouet les conséquences de la guerre. Par conséquent, ces femmes paysannes ne savent pas récupérer leurs récoltes dans les champs, à cause de la présence des groupes armés.

Dans son intervention lors des travaux à huis clos du mini-sommet sur la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC ouvert vendredi 16 février à Addis-Abeba, le Président Félix-Antoine Tshisekedi a démontré l’implication du Rwanda dans l’entretien de l’insécurité et le pillage des richesses dans l’Est du Congo. C’est ce que rapporte la Présidence de la RDC.

 Le sommet extraordinaire sur la situation en République démocratique du Congo (RDC) a débuté vendredi 16 février soir, à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne et siège de l'Union africaine (UA).

Les hommes d’affaires en Afrique de l’Est s’indignent de la perturbation du commerce avec la RDC via le poste frontalier de Goma dans l’est du pays. Plusieurs camions chargés de marchandises ne traversent plus la frontière du Rwanda vers la RDC.

Le Collectif des journalistes pour la promotion de la démocratie et la défense des droits de l’homme (CJDH-Maniema) a demandé, vendredi 16 février, au gouverneur intérimaire, Afani Idrissa de retirer l’autorisation de fonctionnement des associations des jeunes, dénommées « Base ».

Le secrétaire exécutif de cette organisation citoyenne, Ferdinand Rajabu a formulé cette requête dans une interview accordée à Radio Okapi, à Kindu.

Des épouses des militaires et des policiers de Kisangani (Tshopo) marché, vendredi 16 février, dans la rue pour déplorer l’agression rwandaise, à travers le M23, dans l’Est du pays.

Des mouvements citoyens et autres ONG de la société civile ont été organisé, un jour avant au rond-point Canon, au centre-ville de Kisangani, des manifestations pour la même cause.

Prévue le vendredi 16 février, la clôture des dépôts des candidatures pour l’élection des sénateurs et gouverneurs de provine est post posée au 1er mars prochain.

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) l’a affirmé dans un communiqué parvenu le même vendredi à Radio Okapi.

Le Gouvernement provincial du Kwilu a décidé, jeudi 16 février, d’appuyer les interventions nutritionnelles dans dix zones de santé de cette province.

C’est dans ce cadre que son ministre provincial de la Santé a lancé, à Bandundu, la mise en œuvre des services de nutrition à assise communautaire (NAC).

Le coordonnateur des opérations militaires au Nord-Kivu, lieutenant-général Fall Sikabwe a affirmé, vendredi 16 février, les FARDC mènent des opérations ensemble avec la MONUSCO.

Cet officier militaire l’a affirmé lors de sa rencontre avec son collègue le commandant de la force par intérim de la MONUSCO, général-Major Khar Diouf, à Goma.

 La société civile de Bapere, territoire de Lubero (Nord-Kivu) a jugé, jeudi 16 février, exorbitant la somme de 130 000 francs congolais (50 USD), fixée pour la participation à l’Examen d’Etat, édition 2024.

Le président de cette structure, Samuel Kakule l’a déploré dans une déclaration dont une copie est parvenue le même jour à Radio Okapi.

Au moins 630 000 déplaces sont privés, depuis quelques semaines, de l'aide humanitaire ainsi que de soins médicaux vitaux à la suite de la guerre entre FARD et M23 dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu).

Au moins 64 passagers d’une pirogue motorisée ont été sauvés, jeudi 15 février, d’un naufrage sur le lac Kivu dans les environs de Buhimba, au Nord de la ville de Goma (Nord-Kivu).

Selon des sources sur place, cette embarcation a commencé à chavirer avant qu’elle soit secourue et d’accoster près du site de Buhimba.

Les mêmes sources ont rapporté qu’aucune perte en vies humaines, ni en marchandises n’a été signalée.

Le représentant du gouverneur du Sud-Kivu et ministre provincial des ITPR, Gaston Cissa wa Numbe, a annoncé la fermeture de la base opérationnelle de la MONUSCO à Baraka-Fizi pour le 15 mars prochain.

Il a fait cette annonce mercredi 14 février au cours d’une réunion élargie du Conseil urbain de sécurité qu’il a présidée avec le chef du sous bureau de la MONUSCO/Uvira.

Les affrontements ont repris le matin de ce vendredi 16 février à Masisi entre les miliciens locaux appelés Wazalendo et les rebelles du M23 sur l’axe Shasha, au sud de la cité de Sake dans la chefferie des Bahunde (Nord-Kivu).  Aucun bilan n’est disponible pour l’instant. 

La Synergie des sociétés civiles du groupement Basongora a décidé, jeudi15 février, de suspendre la série de journées ville morte illimitées, qu’elle avait décrétée il y a une semaine à Kasindi-Lubiriha, commune rurale du territoire de Beni (Nord-Kivu) frontalière de l’Ouganda. 

Ces journées ville morte étaient à la base de la paralysie totale des activités socio-économiques dans la région.

Le Centre récréatif des jeunes de Luvungi, dans le territoire d’Uvira (Sud-Kivu) dénommé " Amani Center ", participe à l’élimination des violences communautaires surtout chez les jeunes, a constaté, mercredi 14 février, le reporter de Radio Okapi.

Dans ce centre qui fonctionne depuis environ deux ans, les jeunes se rassemblent pour l’apprentissage à l’informatique et participent aux activités des loisirs qui y sont organisées.