La machine de terreur de Joseph Kabila est en marche
Comme nous l’avions si bien indiqué dans une des nos analyses prospectives sur les conséquences de la démission de Moïse Katumbi du PPRD et de son poste de Gouverneur de la Province unitaire du Katanga, la machine de mort de Joseph Kabila s’est mise en marche.
Elle vient de faire sa première victime. La sentinelle de la résidence de Kasenga dans la province du Katanga du grand Frère de Moïse vient d’être froidement abattue par balles par des personnes inconnues.
Est-ce la levée de rideau du premier acte, d’une tragédie à plusieurs actes conçus et calibrés pour terroriser les proches du gouverneur et ceux qui s’entêtent à l’accompagner dans cette longue marche de libération avec le peuple Congolais ? Est-ce un début de campagne destinée à briser l’élan de l’opposition congolaise, de leaders de G7 et du téméraire Ex-Gouverneur ?
Chaque jour le sang coule a Béni. Un mort de plus ne saurait pas faire une différence. Mais est-ce que cet assassinat ne vise plutôt pas a découragé le frère de l’ex-gouverneur dont certains sites internet l’ont affiche avec le leader de l’UDPS ? Il se pose beaucoup de questions sans reponses.
Ce crime n’est pas un hasard et n’a pas surement été commandite du Katanga. Les instances spécialisées du régime à Kinshasa ont prouvé qu’ils ont de suite dans les idées noires et des bras longs, capables d’atteindre chaque contrée du Congo. En quoi donc, une sentinelle est-elle une menace contre le pouvoir de Kinshasa si c’est n’est pas une mise en garde ? N’est-ce pas que les Chinois qui ont gagné le cœur du « Raisi » disent qu’il faut « tuer la poule pour effrayer le singe » ? En d’autres mots, on tue d’abord le faible pour décourager les plus téméraires ? Il se trompe, l’heure a sonné, la peur s’est envolée et C’EST LE MOMENT pour le peuple congolais.
La suite nous donnera sûrement plus d’éclairage. Mais saurions-nous exactement qui a commis ce forfait ? Nous en doutons. Nous retenons que l’escadron de la mort dont nous avions parlé a commencé ses sales besognes.
Que la Communauté internationale que nous avions alertée réalise les réflexes sanguinaires de ce régime est en train d’agir et que rien ne semble l’arrêter et ne l’arrêtera pas ! La force du journaliste sera de continuer à alerter le monde entier et l’informer sur les crimes de Joseph Kabila. Il ne fait que s’enfoncer d'avantage.
Nous y reviendrons
