Quel tribunal pourra restaurer la réputation de Constant Omari, Président de la FECOFA, et ses vice-présidents trainée dans la boue ?

Il est maintenant établi que Mr. Constant Omari était gravement malade à Paris où il était interné et qu’il n’était pas à Kinshasa pendant plus d’un mois et demi. Il est également établi qu’aucun sous du 1 million de dollars avait été débloqué.

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Toujours en convalescence, nos fins limiers qui ont vu dernièrement le président de la FECOFA,  Vice-Président de la CAF et Membre du Comité Exécutif de la FIFA, M. Constant Omari témoignent que ce dernier a sérieusement perdu du poids.

Hélas, c’est à ce moment que Mr. Bambi Luzolo en profite pour le poignarder dans le dos avec une charge concoctée par quelques jaloux sur l'indépendance et le rayonnement international du Président Constant Omari.

Ceci nous amène à la question suivante : Maintenant qu’on a trainé sa réputation dans la boue, dans quelle cour le président de la FECOFA Constant Omari va-t-il se rendre pour regagner sa réputation ? Quel prix l’intouchable Bambi Luzolo va-t-il payer pour un dossier juridiquement vide ? Zéro !

Les conseillers de Bambi Luzolo, originaires du Bandundu ayant aiguillé leur patron du Bas-Congo sur une mauvaise piste, ont été secondé dans ce méli-mélo juridico-ethnique par Kin-Kieh Mulumba, un monsieur connu pour son envie démesurée pour les voitures de luxe et qui a trouvé une occasion pour en découdre avec Constant Omari, seulement par-ce-que ce dernier possède une voiture de luxe de marque Bentley qu'il a toujours tant rêvé...Sommes-nous descendus aussi bas ?

Pendant ce temps, les vrais détourneurs de deniers publics sont connus par M. Bambi Luzolo et se réjouissent de ce spectacle gratuit. Celle qui a des comptes dans les paradis fiscaux est à côté de lui ; Ceux qui bradent nos patrimoines nationaux sont à Kinshasa. Ceux qui trafiquent nos passeports et autres documents officiels sont connus.

Pourquoi s’en prend-t-il au leadership de la FECOFA qui fait pourtant, au vu des records de nos équipes dans les compétitions internationales, du beau travail ?

Vraiment c’est le monde à l’envers et cela devrait interpeller tous les congolais.