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Samy Badibanga et Azarias Ruberwa

Samy Badibanga Broie du Noir à Washington

Dans le Déjeuner de Prière ce matin au Congres des Etats-Unis où devrait en principe se trouver Sammy Badibanga et Azarias Ruberwa, le président Donald Trump venait de complimenter le Chapelain du Senat, Admiral Barry Black (Ancien General Deux Etoiles de la Navy Américaine) pour sa prière émouvante.

« Quand vous entendez parler des appels [téléphoniques] difficiles que je fais, ne vous inquiétez pas, ne vous inquiétez pas, ils sont durs, nous devons être durs, il est temps que nous soyons un peu dur… On a pris avantage de nous virtuellement par chaque nation dans le monde », venait de déclarer Donal Trump.

Que se passait-il dans la tête de Sammy Badibanga ? Comprend-il l’anglais ? Peut-il être dur comme Trump envers son créateur Joseph Kabila ? That's the question.

En visite à Washington, soit disant pour participer à la Prière de Déjeuner Annuelle du Congres American en compagnie d’Azarias Ruberwa, Sammy Badibanga — que nous refusons d’appeler Premier Ministre, croyait que les portes allaient s’ouvrir auto-magiquement. Hélas, Washington fonctionne autrement et reste fermé pour lui. Aucune autorité ne s’empresse de voir le pauvre monsieur.

D’après une source à l’Ambassade de la RD Congo à Washington, il voulait rencontrer le Président Ed Royce, un homme très puissant et en très bonne relation avec Donald Trump.

Hélas, jusque hier soir, ses démarches n’ont pas abouti, à croire qu’on aurait plus d’égards envers un vendeur de pacotilles que le Premier Ministre de Joseph Kabila.

Notre informateur nous a en plus confié qu’il n’était pas du tout pressé de regagner le pays à la suite du décès de l’opposant historique Etienne Tshisekedi wa Mulumba.

De même, rien n’a filtré sur les réseaux sociaux sur un message de condoléances officiel — le moindre de chose qu'il devrait faire et qui ne demande que l’accès sur un ordinateur de l’hôtel ou il est descendu — à la famille de l’illustre disparu.

Nous savons qu’on se débarrasse gentiment de lui, ou les registres de rendez-vous sont remplis… un Premier ministre ne mérite-t-il pas des égards ? Ca dépend !

Quelle porte va-t-il ouvrir ? Comment va-t-il engager les institutions internationales sans le patronage de Washington ?

Nous l’avons dit et nous allons le répéter, Monsieur Badibanga devrait démissionner pour garder le peu de dignité qui lui reste. Nous doutons qu’il puisse être dur contre Joseph Kabila, son créateur. Le plus tôt il fera, le mieux.

A très bientôt

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