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Lieutenant-colonel Kiki alias Raman Kota, Felix TShisekedi

URGENT : Assassinat politique par Félix Tshisekedi : Voici la photo du lieutenant-colonel Kiki alias Raman Kota, le commanditaire de l’assassinat de Chérubin Okende, et comment il a été tué

Par Vincent Carter

Ce matin, Kinshasa a été le théâtre d’un crime politique choquant avec l’assassinat de Chérubin Okende, porte-parole d’Ensemble et ancien ministre des transports. Cet acte odieux soulève des questions cruciales : à qui profite ce crime ? Qui a tué Chérubin Okende, et pour qui ? Et surtout, pour quelles raisons ?

Selon nos informations, parmi les équipes ayant commandité l’exécution de Chérubin, se trouve le lieutenant-colonel Kiki, également connu sous le nom de Raman Kota. Il est affilié aux services de renseignements militaires de la DEMIAP. Ce même individu aurait été responsable de l’arrestation de Salomon, dans des circonstances similaires.

D’après nos sources au sein de la DEMIAP à Kinshasa, l’ancien ministre et membre d’Ensemble aurait subi de longues séances de torture aux mains du lieutenant-colonel Kiki. Ce dernier aurait utilisé des sachets en plastique pour étouffer Chérubin Okende, dans le but de le contraindre à accuser Moïse Katumbi de fomenter un coup d’État, sur ordre de Félix Tshisekedi.

Après avoir constaté que Chérubin était décédé des suites de cette suffocation, de la même manière que le militant des droits de l’homme Floribert Chebeya, dont le corps avait été retrouvé étouffé et jeté dans la rue avec des préservatifs, un membre de la DEMIAP, désapprouvant ces méthodes de torture et de fabrication de fausses accusations, a contacté le média en ligne Congointelligence.com.

Selon nos sources au sein de la DEMIAP, le porte-parole du parti Ensemble pour la République, Chérubin Okende, avait été convoqué à la Cour constitutionnelle pour une séance concernant son patrimoine, suite à son départ du gouvernement en février 2023.

C’est de là, à la Cour constitutionnelle, qu’il aurait été kidnappé par la DEMIAP et emmené dans la soirée du mercredi 12 juillet 2023 par des hommes en uniforme lourdement armés, jusqu’à la salle de torture de la DEMIAP. Après une longue séance de torture ayant entraîné sa mort, les militaires ont paniqué. Dans leur précipitation, ils auraient décidé de transporter le corps sans vie de Chérubin et de le jeter en face d’un garage sur l’avenue poids lourds, le criblant de balles afin de faire croire à la population qu’il s’agissait d’un règlement de comptes.

Ces événements tragiques soulèvent l’indignation de nombreux Congolais, qui en ont assez des enlèvements, des tortures et des assassinats politiques perpétrés par le régime de Félix Tshisekedi. Beaucoup estiment que le président, arrivé en fin de mandat, tente de se maintenir au pouvoir en utilisant la terreur.

Un membre d’une ONG congolaise, s’appuyant sur ces informations, accuse directement Félix Tshisekedi et le lieutenant-colonel Kiki alias Raman Kota d’être les commanditaires et les responsables de l’assassinat politique de Chérubin Okende, le porte-parole d’Ensemble.

Les appels à une enquête indépendante et à la justice se multiplient, afin de faire toute la lumière sur cet acte abominable et de traduire les coupables en justice. Le peuple congolais réclame des réponses et une fin à cette vague d’insécurité qui secoue Kinshasa et le pays tout entier.

 

SOURCE: https://congointelligence.com/2023/07/13/urgent-assassinat-politique-pa…

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