Le Scandale Caché : Révélations Explosives Secouent le Pouvoir en RD Congo, Ouvrant la Voie au Dialogue et à une Transition Imminente

Ce que nous avions dit et répété est en train de se concrétiser. Nous avions affirmé qu’il était, du point de vue d’arithmétique, simple, que Félix Tshisekedi remporte les élections, quel que soit le niveau de fraude. Tout cela vient d’être confirmé par l’audio publiée dans Congo Etas-Unis TV, qui vient corroborer notre analyse. Des mots familiers tels que « glissement », « dialogue » et « transition » flottent dans l’air, mais avec qui comme président, si ce n’est pas Félix Tshisekedi, dont l’incompétence est patente ? Selon l’audio, dont l’extrait est résumé en 34 points ci-dessous, l’information provient d’une source très sûre. Il faudra néamoins que les Candidats restent engager -- posent leur canditature -- dans le cas où Felix Tshisekedi changeait d'approche à la dernière minute !

1. Peter Kazadi, le ministre de l’Intérieur, a été chargé d’informer tous les gouverneurs qu’il n’y aura pas d’élections, et que nous nous dirigeons vers le dialogue.
2. Tous les bruits étaient des distractions. Un jeu de hasard pour les candidats ?
3. Depuis avant-hier, Peter Kazadi est chargé d’informer les membres de l’Union Sacrée pour qu’ils soient prêts et ne soient pas surpris qu’il n’y ait pas d’élections.
4. Félix Tshisekedi souhaite un dialogue pour mener le pays vers une transition. Il se battra pour convoquer et organiser ce dialogue.
5. Cela implique un partage du pouvoir avec le poste de Premier ministre pour l’opposition. Félix Tshisekedi insiste pour rester président, c’est son seul objectif. C’est le message clé que tout homme politique doit comprendre.
6. S’il ne convoque pas le dialogue en 2023, pourra-t-il le faire en 2024 ?
7. Le dialogue découle de l’accord-cadre d’Addis-Abeba. En annonçant le dialogue, Félix souhaite imposer son médiateur alors que la communauté internationale en a déjà un. Cela signifie que son approche du dialogue ne passera pas.
8. Pourquoi Félix Tshisekedi s’engage-t-il dans la voie du dialogue ? Eh bien, il est acculé depuis l’assassinat de Sherubin Okende, dont le corps est toujours à la morgue. Le journaliste Stanislass Bukajera, qui a été le premier à révéler l’information impliquant un conseiller du chef de l’État dans cet assassinat, est en détention.
9. Lorsque l’on parle d’un conseiller du chef de l’État, on soupçonne le grand frère de Tshisesekedi [le sulfureux] Christian Tshisekedi, ce qui explique son silence.
10. Le corps de Sherubin n’est toujours pas enterré, et le dossier est en suspens, ne sachant pas par où commencer.
11. Le deuxième problème qui a changé la situation en un instant est le massacre de Goma, avec un bilan de plus de 200 morts.
12. Qui a commandité ce massacre ? La présidence de la République démocratique du Congo.
13. On ne sait pas si c’est lié au banditisme, mais officiellement, cela revient à la présidence de la République.
14. En effet, dès qu’il s’agit de la Garde républicaine, le président est automatiquement impliqué, comme ce fut le cas pour le massacre de Jean-Pierre Bemba en République centrafricaine. On n’a pas arrêté les soldats, mais Jean-Pierre Bemba a été emprisonné à la CPI.
15. Sans même enquêter, le gouvernement a annoncé que c’était la Garde républicaine. En d’autres termes, c’est le président de la République, point final.
16. La CPI a déjà pris en charge le dossier du massacre de Goma. Avec ces deux dossiers, Félix Tshisekedi appartient désormais au passé, il ne peut pas échapper à la justice.
17. Il ne pourra plus se déplacer ni participer à de grandes réunions, car il craint d’être arrêté par la CPI. [Pour un homme qui aime les voyages,] c’est son problème le plus sérieux.
18. Même pendant la transition, il ne faudra plus faire route avec Félix Tshisekedi.
19. Il se rappelle maintenant avoir été informé que l’armée était infiltrée. S’il avait suivi dès le début la voie du dialogue, le massacre n’aurait pas eu lieu, mais il s’est entêté.
20. Selon la même source, Félix Tshisekedi avoue qu’aucun de ses conseillers n’est valable parmi tous, ce sont tous des profanes qui ne comprennent même pas comment fonctionne la politique.
21. C’est pourquoi il doit faire un revirement à [180] degrés, convoquer un dialogue et lutter pour rester président tout en attribuant le poste de Premier ministre à l’opposition pendant la transition.
22. Telle est la situation actuelle de Félix Tshilombo.
23. Par ailleurs, son ministre des Affaires étrangères agit presque comme porte-parole de la MONUCO à la RFI, affirmant que la MONUSCO les accompagnera lors des élections. Il avait également menti en disant que la SADC entrerait au Congo le 15 juin 2023.
24. Pourquoi Lutundula parle-t-il au nom de la MONUSCO et annonce qu’ils déploieront leur parc automobile pour permettre aux politiciens congolais de faire campagne ?
25. L’ouverture de l’Assemblée générale des Nations Unies est déjà prévue pour le 15, et Keita est déjà à New York. Cela pose la question de savoir quand Lutundula a parlé avec Keita.
26. Il y aura un mini-sommet pour la République démocratique du Congo, mais pas question du processus électoral. Ce sommet s’appuie sur l’appel au dialogue fait lors du sommet de Nairobi. Rappelons que Félix Tshisekedi avait fui ce sommet, envoyant le Premier ministre Sama Lukonde à sa place.
27. Lors de ce sommet, il avait été martelé que le Congo devait aller au dialogue pour mettre en œuvre les accords de Nairobi et de Luanda, ce qui signifie simplement le dialogue.
28. Comment se fait-il que le ministre des Affaires étrangères parle des élections alors qu’ils n’ont même pas d’avion ? Congo Airways a supprimé tous ses vols, n’est-ce pas ?
29. Les députés qui sont partis à l’intérieur grognent, car ils ne savent pas comment retourner à Kinshasa. La raison de leur blocage est simple : il n’y a plus d’avions. [Un grave problème pour un pays aussi vaste et sans infrastructures comme la RD Congo].
30. D’où la mascarade et la distraction concernant le processus électoral.
31. Tout cela confirme que Félix Tshisekedi veut convoquer un dialogue qui mènera le pays vers une transition.
32. Ils n’ont rien, c’est-à-dire pas d’argent pour organiser des élections.
33. Ainsi, l’opposition radicale a désormais la situation en main. Ceux qui ont voulu accompagner Félix Tshisekedi dans les prétendues élections sont pris au piège.
34. Massacre, insécurité : après le massacre de Goma, il y a eu le massacre en Ituri et un massacre à Beni (13/09/2023), et le matin du 14/09/2023 à Maïdombe avec Mobondo.

En conclusion, un président qui a conduit le pays au bord du précipice n’a plus voix au chapitre. De plus, les individus qui ont pillé le pays doivent être tenus à l’écart. Ceux qui ont trahi leur pays en collaborant avec les ennemis ne devront plus jamais occuper les postes gouvernementaux. Les Congolais doivent rapidement se réunir et choisir l’équipe qui dirigera le navire congolais pendant la transition, sans Felix Tshisekedi Tshilombo à la tête de la transition.