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Martin Fayulu , Dr. Denis Mukwege

URGENT : La RD Congo Au Bord du Précipice — Appel au Retrait Volontaire du Dr Mukwege et Fayulu de la Présidentielle

Winston Churchill disait : «Les dictateurs se déplacent à dos de tigres dont ils n’osent descendre. Et les tigres commencent à avoir faim.» Cette maxime s’avère douloureusement pertinente pour la République Démocratique du Congo (RDC) où le processus électoral actuel menace de basculer dans l’autoritarisme, loin de l’idéal démocratique qui voudrait que les élections soient un outil d’expression populaire. La tenue prochaine des élections soulève des inquiétudes majeures quant à leur intégrité, et la légitimité même du régime Tshisekedi est mise une fois de plus en question.

 

Avec une opposition fragmentée et des élections qui ne s’annoncent ni libres ni justes, la RDC semble s’engager sur un chemin périlleux. Les manœuvres du président de la CENI (Commission Électorale Nationale Indépendante), Denis Kadima, sont perçues non pas comme une préparation à des élections démocratiques, mais plutôt comme un moyen de perpétuer le pouvoir en place, bafouant ainsi la constitution.

 

Les signaux d’alarme ne cessent de retentir : entre la demande de report des élections par la Cour Constitutionnelle, l’incertitude quant à la réception, la non-fiabilité de fichiers électoraux, manque des imprimés de valeurs, au dispatching et à la configuration du matériel du scrutin, et le refus de l’Angola de fournir des moyens logistiques essentiels, la crédibilité du processus est gravement entachée. La situation est exacerbée par l’insécurité croissante, avec des violences politiques — voir le vandalisme au domicile de Frank Diongo, l’assassinat de Beni Kasindi, candidat de l’UDPS, les actes odieux de la milice de l’UDPS à Fungurume hier — et des tensions ethniques qui menacent de dégénérer en conflits majeurs.

 

Dans ce contexte tumultueux, certains acteurs politiques comme Martin Fayulu et le Dr Denis Mukwege pourraient jouer un rôle crucial, s’ils décidaient de se retirer de la course électorale pour dénoncer les irrégularités et mitiger le risque d’un coup d’État électoral. En d’autres mots, la victoire doit être si écrasante que même le bourrage des votes ne pourra pas renverser l’ordre d’arrivée.

 

En 1815, Rothschild (multimilliardaire) a fait sa célèbre déclaration : «Peu m’importe quel pantin est placé sur le trône d’Angleterre pour régner sur l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle l’approvisionnement en argent britannique contrôle l’Empire britannique, et c’est moi qui contrôle l’approvisionnement en argent britannique». Cette déclaration reste valide même pour la RD Congo et nous risquons de revivre les années 1960, mais avec un président impopulaire.

 

Ainsi, tous les yeux sont désormais tournés vers Moïse Katumbi, perçu comme le seul à pouvoir tenir tête au régime Tshisekedi. L’accueil massif à Kolwezi, Likasi et Lubumbashi nous disent qu’il dispose d’une arme lourde contre Felix Tshisekedi : L’Arme Économique. Il peut stopper la production du Cuivre, Cobalt, Zinc, Manganèse et Germanium et faire tomber la Bourse de Shanghai et Hong Kong en cas de bras de fer avec Kinshasa. Pourquoi le cuivre et partant le contrôle du grand Katanga est-il si important pour le monde ?

  1. Le cuivre a acquis les surnoms de « Dr Cuivre » et « le métal avec un doctorat en économie » en raison de son étonnante capacité à diagnostiquer la santé de l'économie globale.
  2. Le cuivre est bien plus qu'un simple métal extrait ; il crée des emplois et favorise un niveau de vie plus élevé. Une tonne de cuivre apporte de la fonctionnalité à 40 voitures, alimente 100 000 téléphones mobiles, permet le fonctionnement de 400 ordinateurs et distribue de l'électricité à 30 foyers.

 

Hélas, le Dr Denis Mukwege et Martin Fayulu ne disposent pas d’un tel pouvoir, raison pour laquelle ce dernier ne siège pas à Kinshasa malgré sa victoire en 2018. Remarquez qu’il y a déjà pénurie du cuivre et du Germanium et que c’est le cuivre qui dicte/prédit la croissance et décroissance de l’économie mondiale. Même Washington qui est sous embargo chinois de Germanium a de quoi s’inquiéter.

L’heure est grave, et les Congolais se trouvent à un carrefour décisif. Les prochains jours nous diront si la RDC plongera dans l’abysse ou si elle parviendra, contre toute attente, à se réapproprier son destin démocratique par l’application de l’article 64. Le compte à rebours est lancé, et l’heure n’est plus à l’indécision, mais à l’action. Le Dr Denis Mukwege et Martin Fayulu doivent retirer leur candidatures pour que leurs militants aient le temps de trouver une autre alternative. S’ils sont toujours hésitants, qu’ils lisent le livre des Rois 1 (1 Rois), chapitre 3, versets 16 à 28 et le Roi Salomon va les inspirer. C’est ne pas une défaite ni un abandon. C’est un acte d’amour envers la RD Congo.

À très bientôt

LA REDACTION

 

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