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Coup d'Etat Electorale - Lubumbashi

Le Coup d’État de Tshisekedi : le Président de la RDC Utilise l'Armée pour Revendiquer la Victoire Électorale; l'Opposition Conteste les Résultats en Mentionnant des Fraudes

Des signes inquiétants émergent en République Démocratique du Congo, où le président Félix Tshisekedi est accusé d'utiliser des moyens militaires pour consolider sa victoire électorale, une fois de plus volée. Cette situation s'est cristallisée dans la province où Moïse Katumbi Tchapwe, principal adversaire de Tshisekedi, réside. Ça sent le coup d'État, ça ressemble à un coup d’État dans les rues du grand Katanga, c'est un coup d'État !

Les moyens militaires déployés par Félix Tshisekedi dans la province du vainqueur, le sixième président de la RD Congo, à savoir Moïse Katumbi Tchapwe, le prouvent amplement. Nous ne sommes donc pas dans le domaine de la spéculation ni de l’abstrait. L’encerclement de la résidence du bras droit de Moïse Katumbi, Christian Mwando Nsimba, et le vandalisme du quartier général du parti victorieux, ENSEMBLE, sont des éléments supplémentaires pour intimider le vainqueur, Moïse Katumbi, et le peuple congolais.

De plus, le fait que l’informaticien belge, qui voulait exfiltrer les preuves de transactions frauduleuses des bases de données de la CENI avant son retour en Belgique, ait été fatalement défenestré, prouve que Félix Tshisekedi ne reculera devant rien. L’article ci-dessous explique en détail les différents faits qui valident la prémisse d'un coup d'État électoral. La question qui vaut 1,3 milliard de dollars est celle de savoir comment les événements vont se dérouler. Nous postulons que seule la force pourra déloger Félix Tshisekedi. 

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Trois des principales factions de l'opposition en République démocratique du Congo ont demandé à l'organe électoral du pays, la CENI, d'annuler les résultats qu'ils prévoient d'annoncer en faveur du candidat de la Cour pénale internationale (CPI), Félix Tshisekedi, en invoquant une fraude généralisée.

 

Cependant, Tshisekedi a insisté sur le fait qu'il avait remporté l'élection et devrait être déclaré vainqueur. Le chef de l'État a depuis déployé des commandos en connivence avec l'ancien chef rebelle et condamné pour crimes de guerre de la CPI, Jean-Pierre Bemba, dans les grandes villes pour réprimer les citoyens qui cherchent à contester le résultat de leur élection volée.

 

Le président de L'ECIDE, Martin Fayulu, et le Dr Denis Mukwege, ainsi que quatre autres candidats se faisant appeler LAMUKA, ont appelé à des manifestations le 27 décembre 2023. L'ancienne coalition du parti au pouvoir, le FCC, dirigée par Joseph Kabila, a déclaré que sa décision de boycotter ce qui s'annonçait comme une élection truquée a été validée.

 

Une des alliées de Kabila et haut responsable du FCC, Francine Muyumba, affirme que la seule façon pour son organisation et l'opposition d'accepter le résultat d'une élection est que la CENI soit reconstituée, qu'une nouvelle Cour constitutionnelle soit installée et qu'une nouvelle loi électorale soit promulguée.

 

Moïse Katumbi, vainqueur de l'élection en cours, affirme que la fraude orchestrée par Tshisekedi et sa CENI a fait de la RDC un pays ridicule.

 

Le porte-parole d'Ensemble, Hervé Diakese, affirme que les machines de vote et les bulletins ont été retrouvés entre les mains de tiers, tous associés à Tshisekedi. "C'est une preuve irréfutable que la fraude a été organisée et planifiée en faveur de Tshisekedi, avec la complicité de la CENI. Une seule machine retrouvée entre les mains d'un tiers confirme la fraude et annule les votes. Mais dans ce cas, il y a plusieurs exemples. Qui leur a donné ces machines ? Combien de machinistes ?"

 

Diakese, avocat, a déclaré que le camp de Katumbi est surpris que, depuis les dénonciations de la fraude diffusées sur divers réseaux sociaux, aucune autorité judiciaire ni le procureur général de la République n'a convoqué la chaîne logistique de la CENI pour enquêter sur ces atrocités électorales.

 

Diakese a demandé l'arrestation immédiate du président de la CENI, Denis Kadima, affirmant qu'il a détourné des millions de dollars pour mettre en scène une élection.

 

"Aucun pays sérieux, aucun pays occidental n'accepterait de telles élections chaotiques. Le sort du peuple congolais ne mérite pas la tricherie, ni des dirigeants frauduleux. Cette nouvelle fraude ne passera pas. Cela prendra le temps qu'il faudra", a-t-il déclaré, appelant la population à se mobiliser pour protéger son vote.

PHOTOS DE L'ARMÉE DANS LES RUES DE LA RDC

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